Ouvert la nuit
Les fils de ses écouteurs dépassent de sa poche arrière de jeans. Il est en avance. Il retire son manteau, le pose sur le dossier d’un canapé du salon qui jouxte le lobby de l’hôtel Paradis, où il a donné rendez-vous. Il va chercher du café. « On commence, si vous voulez… » Il est comme ça, Adrien Gloaguen. Tout en spontanéité..